17 juin 1940 : Les traîtres prennent le pouvoir !

Publié le par Takeda Tetsuya

Marshal-Petain-Henri

17 juin 1940
Le maréchal Pétain est prêt à signer l'armistice avec le chancelier Hitler

 

A 12 h 20 ce lundi 17 juin, depuis Bordeaux où l'exode à conduit le gouvernement, le maréchal Pétain s'adresse aux Français : "A l'appel de M. le président de la République (Albert Lebrun - ndlr), j'assume à partir d'aujourd'hui la direction du gouvernement de la France. Je fais  à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur (...). C'est le coeur serré que je vous dit qu'il faut cesser le combat. Je me suis adressé cette nuit, à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec moi, entre soldats, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités."
Dans le studio de radio de fortune, certains ne peuvent retenir leur larmes.

Le sort de la France aura donc basculé en quelques heures. La veille c'était la guerre et la débâcle. Déjà se dessine l'armistice.
La veille, vers 17 h 00, un dernier espoir s'était dessiné avec le coup de téléphone du général de Gaulle que le président du conseil Paul Reynaud avait envoyé en mission à Londres. Il annonçait que Churchill approuvait un plan audacieux d' "Union franco-britannique". Le président du conseil voyait là une ultime planche de salut. "C'est un mariage avec un cadavre !" tranche le maréchal Pétain, vice-président du conseil. Se voyant en minorité, Reynaud présente sa démission. A peine débarqué d'avion, de Gaulle ne trouve plus qu'un homme brisé.
Le président Lebrun choisit la simplicité : l'appel au général Pétain. Le gouvernement est rapidement constitué, épuré de tous les bellicistes ; une demi-heure plus tard, la demande d'armistice est transmise.

Au même moment le chancelier allemand triomphe. Dans Paris, une affiche à croix gammée met en garde contre tout acte irréfléchi visant l'occupant.

"Le défaitisme était dans l'air. Maintenant le pays sombre. Les parlementaires, tout le mode fuit et fuit d'abord ses responsabilités" observe, amer, l'écrivain Julien Green, écrivain américain amoureux d'une autre France.

 

Heureusement, un homme au même moment monte dans un avion pour Londre. Cet homme relevera le drapeau du pays.


    Il y a maintenant dans ce pays ravagé par l'islamisme, la corruption et le collaborationnisme de nombreux "français" qui crachent sur sa mémoire...enfin des français ...du moins c'est eux qui le disent...Ils feraient mieux de se regarder dans une glace, et de remettre leurs uniformes bleu-nuit et leur bérets de miliciens...Ils ne sont bon qu'a tuer des gens avec les mains attachées dans le dos. Il est vrai que c'est plus facile que de descendre dans le quartier de la Goutte d'Or et de foutre le pied au cul de ceux qui s'y vautre tous les vendredi...

 

laval

Publié dans Actualité française

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